Un voyage en Mauritanie entre sable et roches

Méharée en Mauritanie

Un voyage en Mauritanie, c’est découvrir le désert entre dunes et roches et s’immerger dans des paysages envoûtants et mystérieux. Petit retour en arrière sur une belle escapade faite quand nous vivions dans ce pays. 

Immersion dans les dunes de l’Amatlîch 

Depuis Atar, nous embarquons dans des 4×4 Toyota Hilux vers les dunes de l’Amatlîch pour le début de notre voyage en Mauritanie. L’erg Amatlîch est très long, il s’étire dans le sens des vents dominants (NE –SO) des contreforts de l’Adrar jusqu’aux plaines proches de Nouakchott sur environ 350 km. En revanche le cordon dunaire est très peu large puisqu’il ne dépasse pas quelques kilomètres dans le Nord. C’est dans les montagnes de l’Adrar que cette « rivière » de dunes prend sa « source ». Ici au sud d’Atar, les montagnes forment comme un fer à cheval large de 3 à 5 kilomètres qui enserre les dunes et les obligent à prendre de la hauteur. C’est donc dans cet écrin de désert où les dunes orangées côtoient le noir brut des montagnes que nous commençons notre aventure en Mauritanie.

Paysage de l'Amatl^ch
Dunes de l’Amatlîch @La Petite Aventure

Pour rejoindre l’Amatlîch, nous avons quitté à une quarantaine de kilomètres au sud d’Atar, la seule longue bande de bitume qui relie la capitale de l’Adrar à Nouakchott 430km plus au Sud. Plein Est, nous avons tout d’abord traversé non sans surprise l’erg Malichigdane sans grandes dunes mais avec du sable parfois très mou. Après la traversée de l’erg et d’une grande plaine parsemée d’acacias où paissent en semi-liberté quelques troupeaux de chèvres, la piste grimpe sur la montagne de l’Ibi el Akhdar vers le village de Graret el Fras puis redescend vers les dunes.Quelques kilomètres plus loin, nous nous retrouvons d’un seul coup enveloppé entre les hautes dunes de l’Amatlîch et le rempart Ouest de l’Adrar. Nous arrivons dans la palmeraie d’Azoueiga.

Piste en Mauritanie
Paysage de l’Amatlîch @La Petite Aventure

La palmeraie d’Azoueiga dans le désert

Dans cette partie abritée du vent, le long de la roche les petites oasis et palmeraies se succèdent sur une trentaine de kilomètres avant de venir buter sur le U du fer à cheval. Nous profitons de l’ombre qu’offrent les palmiers dattiers, acacias et euphorbes. Une ligne de puits permet également à quelques petits campements de demeurer le long de ces dunes. Nous rencontrons le « Marabat » un chamelier qui a installé son campement, maintenant de façon permanente, près d’Azoueiga et qui accompagne des groupes de randonneurs avec ses chameaux pendant la période touristique. C’est ici, au pied d’un mur de sable d’une centaine de mètres, que nous bivouaquons pour cette première nuit sous les étoiles. 

Bivouac dans le désert en Mauritanie
Premier bivouac au pied de l’Amatlîch @La Petite Aventure

La traversée de l’erg Amatlîch

Après le lever de soleil en haut de la fameuse dune qu’il a fallu escalader pendant près de 15 minutes dans le sable très frais, nous entamons à pied la traversée Ouest-Est de l’erg. Accompagné pour l’occasion de Marabat et de deux dromadaires pour porter le déjeuner et de l’eau, nous nous enfonçons doucement dans cette immensité de sable. L’air est encore frais, nous zigzaguons entre les dunes plus ou moins imposantes avant d’en gravir quelques unes pour profiter des paysages infinis du sable. Nos pas croisent de nombreuses traces imprimées sur le sable encore humide, certaines relatent certainement quelques tragédies de la nuit, d’un monde animal sans pitié, d’autres laissent imaginer quelques fennecs ou autres gerboises se déplaçant le plus discrètement possible.

Les dunes de l'Amatlîch
Traversée à pied de l’Amatlîch @La Petite Aventure

En milieu de matinée, le soleil commence à réchauffer le sable et la réverbération de celui-ci sur les dunes annonce la période chaude de la journée. Pique nique à l’ombre d’un rare acacias puis continuation dans les inter-dunaires là où le sable est encore assez dur, plus question de gravir sans fin les hautes dunes !

Euphorbes en Mauritanie
Euphorbes dans les inter-dunaires @La Petite Aventure

Les montagnes noires sont maintenant plus visibles et après quelques pas, nous apercevons l’autre « berge ». Voilà nous avons traversé l’erg, et nous rejoignons les montagnes et les quelques palmeraies vers El Medah. Nos véhicules nous attendent, nous atteignons « El Gleitat » à la pointe nord de l’erg puis la fameuse passe de Tifoujar, goulet d’étranglement où se mêle à merveille sable et roche. Nous bivouaquons dans ce décor féérique, un cirque dans lequel passait parfois avant les bolides du rallye Paris- Dakar.

La passe de Tifoujar en Mauritanie
La passe de Tifoujar @La Petite Aventure

Notre équipe pour ce voyage en Mauritanie

Nous connaissons bien évidement tous les guides et cuisinières de l’équipe, nous organisions à l’époque les voyages dans le désert pour plusieurs agences de randonnée françaises. C’est avec Mahmoud et Racky que nous effectuons ce voyage dans le désert. Mahmoud et Racky sont des Peuls originaires de la vallée du fleuve Sénégal, installés à Nouakchott. Guide et cuisinière dans le désert depuis de nombreuses années.

Notre guide mauritanien

Mahmoud, issu des terres et ancien berger, il peut marcher indéfiniment et avaler avec ses longues jambes de nombreux kilomètres. Racky, elle, a grandi près de la mer avec sa famille de pêcheurs. Ces différences entre « Peul des terres » et « Peul des mers » sont l’occasion de petites joutes verbales entre eux.

Guide en Mauritanie
Mahmoud, guide mauritanien @La Petite Aventure

Notre cuisinière mauritanienne

Racky, coquette en toutes circonstances, elle est bien sûr une cuisinière hors pair et le prouve quotidiennement.

Cuisinière dans le désert en Mauritanie
Racky devant la khaïma cuisine @La Petite Aventure

Le premier dîner est un « thieboudienne ». Plat traditionnel du Sénégal à base de poisson et de légumes, si possible fait avec du thiof (mérou) il est également délicieux avec de la courbine. Les cuisinières achètent le poisson le matin au marché de Nouakchott avant de prendre la route. Pour le second dîner, c’est avec un poulet yassa légèrement pimenté que nous terminons la journée.

Déjeuner dans le désert
Pause déjeuner à l’ombre @La Petite Aventure

Pour les dîners des trois prochains jours, le mouton acheté au campement sert de base. Les côtes et les abats sont grillés le premier jour, puis le reste de la viande est servi en ragoût les jours suivants. Le dernier jour de bivouac, c’est dans une ambiance italienne faite de spaghettis à la sauce tomate que les menus prennent fin.

Plongée dans l’Adrar : « trab el Hajra » ou le pays de la pierre

Petite ascension matinale en haut de la passe de Tifoujar : panorama extraordinaire sur l’oued el Abiod (la vallée blanche) et les plateaux tabulaires qui forment en partie l’Adrar. Nous redescendons en courant comme des enfants la grande dune très inclinée pour rejoindre les 4×4 et, nous quittons ce très beau lieu par un étroit passage ensablé coincée entre dunes et montagnes.

Passage étroit de Tifoujar
Vue de Tifoujar @La Petite Aventure

Nous allons maintenant naviguer au cœur du « Trab el Hajra » ou « le pays de la pierre ». Nous débouchons dans l’oued el Abiod surnommé « la vallée blanche » tout simplement pour la couleur du sable et des dunes de la région tellement différentes de la couleur du sable de l’erg Amatlîch. Les contrastes entre la roche omniprésente et le sable sont saisissants, les moindres failles rocheuses sont comblées par le sable qui part inlassablement à l’assaut des montagnes dessinant ainsi au fil des années grâce à l’érosion des formes les plus étranges.

Nomades en Mauritanie
Des nomades et leurs troupeaux @La Petite Aventure

Voyage en Mauritanie dans l’Adrar

La palmeraie de Tergit

Quelques palmeraies, où coule parfois une source d’eau, dont la plus connue se nomme Tergit, sont au programme de cette journée. Tergit est une des oasis les plus importantes de la région. Ecrin de verdure et de fraîcheur dessinée au fond d’un oued, l’oasis et ses  palmiers dattiers accompagnés par quelques cultures offre au voyageur un instant de repos et de douceur dans ce monde minéral et brut. Petite déambulation dans l’oasis et après bien entendu les trois incontournables verres de thé, nous repartons vers le fond de la vallée blanche.

Terjit en Mauritanie
L’oasis de Terjit @La Petite Aventure

Les villages de l’Adrar

Ici l’atmosphère est différente, coincée entre deux parois rocheuses imposantes, la vallée est marquée par une chaleur plus importante et le vent souvent fort qui soulève le sable et la poussière donne naissance à  une « brume surréaliste » où les mirages semblent plus nombreux. C’est dans ce décor que se succèdent les villages (Toungad, Guelb Chatou..) plus ou moins importants, parfois fait uniquement de cases en palmier. Ici les bergers et leur troupeau se retrouvent autour des quelques points d’eau, où chameaux, chèvres et moutons font des réserves pour les jours à venir. Les nomades attendent leur tour pour remplir leurs guerbas (outres en peau de chèvre) avant de rejoindre leur campement.

Chameaux en Mauritanie
Nomades et chameaux au point d’eau @La Petite Aventure

Nous retournons sur nos pas (ou tout du moins sur la piste) pour rejoindre Oujeft, bourgade poussiéreuse indolente, et la piste qui nous mène dans un dédale minéral de roche et de sable dans un premier temps vers la petite, mais non moins très agréable oasis de Mhaireth, puis en fin de journée au pied de la montagne du Zerga.

Villages de l'Adrar en Mauritanie
Les villages de l’Adrar @La Petite Aventure

Point de repère au Nord-Ouest, la montagne du Zerga et la grande dune accolée à celle-ci marque le début de l’immense erg Ouarane qui s’étend vers le sud jusqu’au la région du Tagant et à l’Est vers le Mali.

L’erg Ouarane, Chinguetti et les oasis du désert

La vision de cet océan de sable au petit matin du haut de la grande dune du Zerga est stupéfiante. Une immensité de sable se dévoile peu à peu. En effet si nous estimons que c’est le même erg qui se termine presque à Tessalit au Mali, c’est alors 1200 kilomètres de sable d’Ouest en Est qu’il faudrait traverser ! Plus humblement, nous allons découvrir une petite partie de ce désert qui nous donne de toute façon une grosse impression permanente d’être au bout du monde. Le désert c’est l’un des endroits les plus beaux et les plus intenses du monde, vastes comme la mer ou la banquise.

Désert de dunes
Jeux de dunes @La Petite Aventure

Chinguetti ou la ville des bibliothèques

Nous plongeons donc en voiture dans cet océan de sable. Au fil des dunes, nous progressons vers l’Est et la ville de Chinguetti que nous atteignons après avoir fait rugir les moteurs en traversant l’oued du même nom dans du sable très mou. Très rarement après de grosse pluie, l’oued peut couler et former une rivière. C’est assez surprenant d’imaginer de l’eau en quantité au milieu de ce sable. Nous arrivons donc à Chinguetti en milieu de matinée.

Maison de Chinguetti
Une maison traditionnelle de Chinguetti @La Petite Aventure

Il est compliqué et long de parler de cette ville historique de façon détaillée. De nombreux ouvrages sont écrits et je tiens juste à confirmer que cette ville fondée au XIII siècle et qui fût un important centre caravanier entre l’Afrique Noire et l’Afrique du Nord vaut le détour. L’ambiance des maisons en pierre, parfois ensablées témoigne d’un mode de vie traditionnelle centré sur la culture nomade. Chinguetti est devenue  la 7e ville sainte de l’Islam sous le nom de « ville des bibliothèques ».

L’oasis de Tanouchert

Après une petite visite de la ville, nous repartons dans l’oued Chinguetti pour rejoindre l’oasis de Tanouchert perdue dans les premiers cordons du nord Ouarane. Nous naviguons donc à nouveau en hors piste dans ce nuancier de jaune et d’orange que nous offrent les dunes. Plus loin un semblant de piste se dessine et monte vers un passage légèrement surélevé, qui surplombe l’oasis de Tanouchert. Quel spectacle de voir se dessiner dans ce tableau de sable une tâche dans laquelle sont repris de nombreux tons de vert. Arrivée dans l’oasis, à l’ombre des palmiers pour boire le thé.

Oasis en Mauritanie
L’oasis de Tanouchert @La Petite Aventure

Petit tour à pied dans l’oasis. C’est l’occasion de nombreuses rencontres chaleureuses avec les habitants de l’oasis mais également l’opportunité d’observer les nombreuses subtilités pour acheminer et protéger l’eau, ressource essentielle à la survie. Utilisation des puits à balanciers, chargement des guerbas, nettoyage acrobatique des palmiers… sont autant de scènes de vie dont nous profitons.

Puits du désert en Mauritanie
Puits à balancier @La Petite Aventure

En fin d’après midi, nous rencontrons Mohamed Lémine. Mohamed est également un chamelier avec qui nous travaillons, le plus souvent entre Chinguetti et Ouadane, et avec qui Laurent a eu la chance de voyager à pied lors de grande traversée vers le Tagant ou l’erg Maqteir.

Nomade dans les dunes en Mauritanie
Nomade dans les dunes @La Petite Aventure

C’est donc à pied que nous rejoignons son campement traditionnel fait de khaimas situé à quelques kilomètres au Nord. Cette petite randonnée dans les dunes nous permet d’apprécier le calme du désert, les couleurs plus douces de la fin de journée et de s’initier à l’archéologie en essayant de repérer les nombreuses traces d’outils néolithiques (pointes de flèches, bifaces…) dans les oueds, là où plusieurs siècles auparavant, de grands fleuves venaient irriguer ces plaines.

Jardin dans le désert en Mauritanie
Jardin dans un oasis en plein désert @La Petite Aventure

Nous passons la soirée au campement accompagné par la famille autour du feu, à échanger quelques nouvelles, parler des pâturages en buvant du thé accompagné de mouton.

Thé sous la khaima
Le thé mauritanien @La Petite Aventure

Ouadane, le Guelb Erl Richat et l’Erg Maqteir

Ouadane, ville caravanière

Nous entamons maintenant le dernier acte de notre périple dans le désert de l’Adrar. Nous partons pour une partie un peu moins visitée au nord de la région. Du campement, nous rejoignons la piste caillouteuse principale qui serpente depuis Atar via la passe d’Amogjar (rendue célèbre par le fort Sagane) sur le plateau tabulaire pour rejoindre Ouadane. Ouadane (qui signifie « deux oueds ») s’étend sur le plateau du Dhar. Moins connue que sa voisine Chinguetti, Ouadane fût fondée en 1329 et fût pourtant également une importante étape du commerce caravanier saharien puisque au XVIe siècle, la cité était le premier centre commercial de la région. Il subsiste de superbes exemples d’architectures en pierre (mosquée, la vieille tour et maison reconstruite) dans la ville que nous découvrons accompagnés par une poignée d’enfants joyeux.

Mahmoud en Mauritanie
Mahmoud @La Petite Aventure

Le Guelb Er Richat

Nous quittons la ville vers l’Est en direction du Guelb Er Richat située à 30kms de Ouadane. Surnommé « L’œil de l’Afrique », le guelb mesure environ 50 km de diamètre et ne s’observe pleinement que depuis l’espace. Cette structure serait, d’après les dernières interprétations scientifiques géologiques, le résultat d’un phénomène volcanique géant, vieux de 100 millions d’années (crétacé), totalement effondré à la suite d’une longue érosion.Terrain de jeux du Professeur Théodore Monod, c’est dans ce paysage désertique assez monotone et uniquement minéral qu’il effectue de nombreuses visites entre 1934 et 1998.

Une théière dans le désert
Objet précieux du désert : la théière @La Petite Aventure

Au nord du Guel Er Richat, la piste n’est plus très bonne et très caillouteuse. L’ambiance minérale, surchauffée par le soleil sur les innombrables pierres, est parfois étouffante. Le Nord du Guelb Er Richat marque également la frontière avec une autre région, le Tiris Zemour qui remonte jusqu’aux mines de Zouerat et le Sahara Occidental.

L’erg Maqteir

Sur la piste difficile, la moyenne est très basse mais après deux heures de voiture, une mince cassure s’ouvre dans la roche et le plateau tabulaire en direction de la plaine et des dunes de l’erg Maqteir. Moins imposant que son « cousin » Ouarane, l’erg Maqteir est peu large et assez long puisqu’il rejoint l’Algérie en direction des ruines de Taoudénit.

L'erg Maqteir
Dunes de l’erg Maqteir @La Petite Aventure

Ici le paysage est assez différent. En effet, le plateau nord du Dhar Chinguetti se présente comme un mur presque sans faille d’une hauteur pouvant atteindre 100 mètres. En bas une zone « tampon » très peu large (mois de 10kms) et ponctuée de quelques puits permet à des campements, souvent des khaïmas isolées, de subsister dans cet environnement hostile. Au nord de cette zone, les dunes de la Maqteir déploient leur éventail de couleur.

Khaïma en Mauritanie
Khaïma isolée @La Petite Aventure

Le campement est installé entre les dunes et un résidu rocheux assez important. Petite promenade dans les dunes dans les lumières de fin de journée pour de très beaux contrastes. La région fourmille également de nombreuses pointes de flèches en silex, témoins d’une zone de chasse importante pendant la période néolithique.

Dernière soirée très agréable autour du feu, nous sommes également accompagnés par de nombreux solifuges, une sorte d’araignée qui se déplace très, très vite sur le sable. Cette araignée est appelée par nos chauffeurs « taxi du désert ». Il y a également dans cette zone peu fréquentée de nombreuses gerboises qui rodent autour du camp. Belle et dernière nuit en bivouac sous les étoiles de l’Adrar avant de rejoindre le lendemain Atar.

Chameliers dans les dunes
Fin de journée dans l’erg Maqteir @La Petite Aventure

Vous avez envie de voyager en Mauritanie, contactez-nous. Nous travaillons avec l’agence Sous l’Acacia.

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8 Replies to “Un voyage en Mauritanie entre sable et roches”

  1. Superbe ambiance et des sentiments de liberté dont nous avons bien besoin en ce moment !

    1. Oui c’est bien vrai, nous serions mieux à marcher dans le désert…

  2. Corinne Le guyader dit : Répondre

    Mais quelle nostalgie et quel bonheur de ressentir toutes ces photos…. Mais qu’est-ce que je donnerai pour avoir le turban et non le masque gros bisous ma Julie

    1. Merci ma Corinne. Oui ça a été un vrai bonheur de se replonger dans les photos et les souvenirs pour écrire cet article. Nous serions mieux à boire un thé assises dans le sable ! Je t’embrasse

  3. PIlley Natalie dit : Répondre

    Magnifique reportage, en effet comme ça donne envie de partir … en ce moment plus que jamais… ! Bravo pour les textes et photos qui nous font voyager à travers notre écran. Une parenthèse enchantée.

    1. Merci Natalie 🙂 Effectivement, nous avons besoin d’évasion et d’insouciance en ce moment…

  4. Comme il est beau ce désert ! Toute cette étendue de sable donne envie de s’y allonger, mais il doit y faire extrêmement chaud. La palmeraie de Tergit semble être très jolie à voir.

    1. Effectivement Tergit est une belle palmeraie. Le désert n’est pas tout le temps chaud, de novembre à mars, la température est bien agréable.

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